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Benoit Hamon - On n'est pas couché 21 novembre 2015 #ONPC
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Public Sénat : Benoît Hamon - Territoires d'infos le 17 novembre
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Terrorisme, unité nationale, libertés publiques : Benoit Hamon est l'invité de Léa Salamé
Terrorisme, unité nationale, libertés publiques... par franceinter -
L'actualité des socialistes du 3 au 15 novembre (mise à jour)
A la une
RTL - Attentats à Paris : "La France pleure ses morts", dit Jean-Christophe Cambadélis
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a réagi samedi 14 novembre à l'attaque terroriste qui a touché Paris et Saint-Denis, vendredi soir.
14 et 15 novemrbe
A l'issue de près de deux heures de débat intense dans un hémicycle inhabituellement garni pour un débat budgétaire, les députés ont donné leur feu vert, 35 voix contre 21, à l'amendement de Jean-Marc Ayrault et de Pierre-Alain Muet (PS), présenté dans le cadre du projet de budget de l'Etat pour 2016.
La Tribune - Amendement Ayrault-Muet : vers une CSG progressive ?
La CSG va-t-elle devenir progressive ? Sans doute pas, mais une petite brèche a été ouverte avec le vote de l'amendement au projet de loi de finances 2016, défendu par les deux députés PS, Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, était adopté. Il faut dire que cet amendement a reçu un accueil favorable de 161 députés socialistes - soit plus de la moitié du groupe - mais aussi des députés écologistes et d'une partie des radicaux de gauche. Aussi, à son corps défendant Manuel Valls a dû accepter la présentation de cet amendement.
Le Figaro - CSG : Ayrault passe en force contre le gouvernement
Le gouvernement ne voulait pas de cet amendement. Mais cent soixante députés socialistes l'avaient paraphé. Jeudi après-midi, l'examen à l'Assemblée nationale de l'amendement de Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet qui amorce une progressivité de la CSG a provoqué une bataille feutrée entre l'exécutif et la majorité. Il a été adopté avec 35 voix pour et 21 contre sur 56 votants. Sans passion et sans que le ministre des Finances s'y oppose.L'ex-Premier ministre propose de remplacer une part de la future prime d’activité par une baisse de la CSG. L'Assemblée l'a suivi malgré les réserves du gouvernement.Sur l’amendement Ayrault-Muet, le gouvernement était contre mais a dû plier devant la mobilisation de sa majorité, donnant à nouveau un sentiment de confusion sur un sujet, il est vrai, très technique.12 et 13 novembre
Public Sénat - Régionales: Jean-Christophe Cambadélis (PS) appelle Valls à la « cohérence »
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a appelé jeudi « tous les socialistes », y compris Manuel Valls, à la « cohérence » et à "se concentrer sur le premier tour" des élections régionales, alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes avec la droite face au FN.
Pierre de Saintignon, tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé jeudi à Manuel Valls de "cesser ces petites phrases qui nuisent à notre campagne", alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes gauche-droite face au FN.
Public Sénat - Fusion des listes PS/LR : Le dernier « tabou » de Manuel Valls en passe d’être levé
A trois semaines des régionales, Manuel Valls a réaffirmé cet après midi la possibilité d’une fusion entre les deux tours des listes PS et les Républicains dans les régions où le FN est en tête des sondages. Un plan anti-FN rejeté par la droite mais qui fait son chemin à gauche.
Slate - Montebourg 2017, la possibilité d'une candidature
Les événements inciteraient irrésistiblement Montebourg à se porter candidat à la primaire socialiste de 2016.
Quelque part en France, un homme fougueux se débat avec une vie un tantinet compliquée. Papa d’un bébé né bien avant terme, il ne saurait négliger sa vie de famille. Entrepreneur néophyte, le voici confronté à des responsabilités inédites pour lui. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Arnaud Montebourg guette, dans la «marche vers le désastre» conduite vaillamment par François Hollande, l’opportunité de revenir au centre de la vie publique.
Europe 1 - Fusion des listes aux régionales : Aubry s'oppose à Valls
La maire de Lille n'apprécie pas du tout l'idée de Matignon de fusionner les listes de gauche avec celle des Républicains pour barrer la route au FN.
INFO EUROPE 1 - Comme l'a révélé Europe 1, le Premier ministre Manuel Valls plaide pour une fusion des listes de gauche avec celle des Républicains dans l'hypothèse où le FN arriverait largement en tête au deuxième tour des régionales dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est donnée favorite. Et cela ne plaît pas du tout à Martine Aubry.
Le Point - CSG : le gouvernement se prépare à soutenir l'amendement Ayrault
EXCLUSIF. L'amendement de l'ancien Premier ministre devrait être adopté. Matignon confirme son soutien sous réserve de lever les derniers obstacles techniques.
Boursorama - CSG : objectifs et obstacles de "l'impôt citoyen" de Jean-Marc Ayrault
Dans un amendement, Jean-Marc Ayrault, propose de réunir la CSG et l'impôt sur le revenu. Grâce à un report d'une partie de la prime d'activité, la CSG serait également réduite pour les bas revenus (moins de 1,3 smic). L'ancien premier ministre aurait réuni près de 190 députés autour de sa proposition, dont 161 socialistes. Le gouvernement de Manuel Valls pourrait être contraint de suivre.
10 et 11 novembre
L’ancien Premier ministre est venu défendre à Matignon son amendement, soutenu par plus de 160 députés PS, amorçant le rapprochement entre l’impôt sur le revenu et la CSG. Manuel Valls a évoqué la perspective d'un «accord», à condition de lever «toutes les difficultés techniques, juridiques». Le texte doit être débattu jeudi à l’Assemblée.Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a exprimé mardi ses réserves sur l'amendement de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault visant à amorcer le rapprochement entre l'impôt sur le revenu et la CSG, estimant que cette dernière avait des "vertus".C'est un pavé dans la mare de François Hollande et Manuel Valls. L'ancien Premier ministre et député PS Jean-Marc Ayrault a déposé un amendement détonnant au projet de loi de finances 2016. Ce texte amorce une fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG.Le Front de gauche ne soutiendra pas l'amendement Ayrault-Muet visant à amorcer un rapprochement entre impôt sur le revenu et CSG, car il refuse une évolution de cette contribution en "levier de fiscalité", a indiqué mardi son chef de file à l'Assemblée, André Chassaigne.Le Point - Amendement CSG : Ayrault sera reçu par Valls
Les deux hommes discuteront mardi matin de la proposition de rendre la CSG progressive qui avait obtenu le soutien d'un centaine de députés PS.
Le JDD - Impôts : quand Ayrault convainc Hollande
L’exécutif cherche un compromis avec l’ancien Premier ministre sur une réforme de la CSG, jusqu’ici repoussée, qui s’appliquerait en 2017. La mesure est largement soutenue à gauche.
Un ex-Premier ministre qui convainc son président de lancer une réforme fiscale jusque-là repoussée, c'est l'étonnante histoire en passe de se dérouler cette semaine. Les députés doivent examiner jeudi un amendement de Jean-Marc Ayrault signé par 160 socialistes dont plusieurs anciens ministres (Kader Arif, Michèle Delaunay, Frédéric Cuvillier…). Son but est de réduire la CSG des salariés modestes directement sur leur feuille de paie, par imputation de la nouvelle prime d'activité (ex-RSA). Une forme de rapprochement de la CSG avec l'impôt sur le revenu, qui sera prélevé à la source en 2018. Une façon de tenir cette promesse, jamais appliquée, du candidat Hollande. "Cet amendement correspond au souhait d'une majorité du groupe de poursuivre le chantier des réformes et de donner des signaux à la gauche sans compliquer la tâche de l'exécutif", argumente Jean-Marc Ayrault.
Le Figaro - Pour Valls, «les Français sont à cran vis-à-vis de l'impôt»
Il y a un mois, Michel Sapin avait trouvé l'idée «intéressante» mais «complexe». Ce dimanche, Manuel Valls a employé la même méthode pour commenter la proposition de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault de remplacer l'impôt sur le revenu et la CSG par un impôt citoyen sur le revenu. «C'est une belle idée, mais je ne suis pas sûr que les Français lient automatiquement l'impôt et la citoyenneté», a-t-il déclaré sur i-Télé et Europe 1. Refuser, mais sans froisser. C'est pourquoi l'amendement sera «examiné de la manière la plus précise possible» dans le débat sur le budget 2016 à partir de jeudi à l'Assemblée nationale.
ON VA PAS PINAILLER - Le matin, la porte-parole du PS est d'humeur badine. Sur le plateau de LCP, lundi 9 novembre, Juliette Méadel a balayé d'un revers de main les critiques des écologistes sur l'annonce par le gouvernement de la reprise des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique. Interrogée sur les difficultés que ce débat pourrait ajouter à l'union de la gauche pour le second tour, la jeune socialiste a livré une explication pour le moins inattendue.
Francetvinfo - Régionales : le FN provoque un dilemme au PS
La percée du FN pour les élections régionales place le PS en position délicate. Dans certaines régions, la gauche n'arriverait qu'en 3e position et se retrouverait face à un dilemme : se maintenir avec le risque de voir gagner le FN ou se retirer et disparaître.
La Tribune - Pourquoi la nouvelle coalition au Portugal est une chance pour l'Europe
Le gouvernement portugais de droite devrait chuter mardi 10 novembre, renversé par une alliance de gauche. Ce nouveau gouvernement représente une nouvelle chance pour la zone euro. Saura-t-elle la saisir?
A gauche, "Mouvement commun" se veut un "Podemos" à la française
Le "Mouvement commun", issu d'une initiative du député PS frondeur Pouria Amirshahi, a été lancé dimanche. Réunissant notamment Cécile Duflot, ou encore Pierre Laurent, il ambitionne "une autre façon d'agir" en politique, à gauche.
9 novembre
Le député PS Pouria Amirshahi lance, avec Noël Mamère et Marie-Noëlle Lienemann notamment, une initiative politico-citoyenne visant à rapprocher les élus de la société civile et à nourrir le débat idéologique à gauche.Dimanche après-midi, Pouria Amirshahi lancera à Montreuil le "Mouvement commun". L’idée est de créer une sorte de "lobby citoyen" menant des campagnes d’opinion. Dans une gauche en décomposition, cette initiative, qui n’est pas la première du genre, parviendra-t-elle à durer et à peser? Les avis sont déjà partagés.
Libé - Pouria Amirshahi lance son Mouvement commun
Un nouveau-né. Ce dimanche, le député socialiste Pouria Amirshahi ouvre la porte du Mouvement commun, «un lobby citoyen», «un grand mouvement qui prépare la France». L'inauguration aura lieu à la maison de l'arbre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Les organisateurs espèrent attirer «plus de 500 personnes». Au programme : ateliers, rencontres, plénières et lancement d'une Web TV. Sur Internet, le Mouvement commun compte près de 1 500 signataires. Pas mal pour un début. Parmi les participants, on retrouve des politiques, classés à gauche, de premier rang. Ils représentent près de 15 % des signataires. Mais la force est ailleurs. La majorité des âmes est issue de la société civile : sans emplois, étudiants, enseignants, agriculteurs, profs ou artistes.
Basta Mag - Vers un « mouvement commun » ouvert aux citoyens pour refonder la gauche ?
Un énième appel à refonder la gauche ? Pas si sûr. Le « mouvement commun » sera lancé ce 8 novembre à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Initié par le député socialiste Pouria Amirshahi, l’appel affiche de grandes « audaces démocratiques, sociales et écologiques ». Il ambitionne de « construire la France et l’Europe de demain » en inventant « un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt que dans l’aventure personnelle ». Pas question, pour le député, de se lancer dans une vaine recomposition d’appareils politiques en déliquescence. « Ce n’est pas un parti de plus, mais un mouvement politique », assure à Basta ! Pouria Amirshahi. « Aller sur le terrain de la compétition électorale est à mon avis contre-productif. » Et ce, quels que soient les résultats des élections régionales et la configuration des scrutins présidentiels en 2017. Le député frondeur veut au contraire « prendre du temps ». Malgré les débâcles annoncées.
Libé - Pierre de Saintignon, l’inconnu socialiste qui se révèle âpre débatteur
Chez Jean-Jacques Bourdin, chez Léa Salamé, en débat face à Marine Le Pen et Xavier Bertrand sur i-Télé : l’inconnu socialiste Pierre de Saintignon s’est retrouvé partout, et on l’a vu se battre. Comme un boxeur, le souffle court. Moins expérimenté que ses deux adversaires, il a une longueur d’avance comme vice-président à la région Nord Pas-de-Calais depuis dix-sept ans, à la fois proche des milieux patronaux, et à l’aise avec les syndicats.
Le Parti socialiste est en ordre de bataille pour les élections régionales, les 6 et 13 décembre prochains. C’est ce qu’affirment les socialistes, disciples de la méthode Coué, alors que la quasi-totalité des sondages annoncent de grandes pertes à gauche.
Challenges - Valls sonne la mobilisation générale contre le Front National et se paie Sarkozy
Le Premier ministre a déclaré qu'il faudra "tout faire" pour éviter que des régions soient gagnées par le FN, et réitéré des propos sous-entendant que le PS serait prêt à pratiquer un "front républicain" avec la droite.
8 novembre
Valls sur Facebook - L’autorité : une exigence, une éthique, des actes.
Dans un monde en perpétuelle effervescence, des images et des faits ont, ces dernières semaines, interpellé nos concitoyens : les violences à Air France ; les scènes d’émeutes de Moirans ; une fusillade mortelle à Marseille ; un violent règlement de compte en marge d’une fête foraine, à Clermont-Ferrand…Tous ces faits sont distincts et indépendants. Ils n’ont ni le même poids, ni la même portée. Pourtant, un débat s’est ouvert. Un débat qui n’a rien de nouveau, mais qui nécessite, une fois encore, des réponses approfondies.
Le Monde - Le PS a-t-il renoncé au front républicain ?
Les élections régionales auront lieu les 6 et 13 décembre. L’idée d’un désistement du Parti socialiste au second tour pour faire obstacle à une victoire du Front national ne fait plus consensus chez les militants.
Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, explique que « l’unité de la gauche maintenant acquise », le PS prendra ses responsabilités pour gagner au second tour. « Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief ».
4, 5, 6 et 7 novembreLe premier ministre Manuel Valls a défendu jeudi 5 novembre son action constante pour défendre l’autorité, face aux accusations de laxisme du Front national et d’une partie de la droite, qu’il accuse à son tour de « singer l’autorité », dans une tribune publiée sur Internet.Alors que Laurent Wauquiez a participé lundi à une réunion organisé par les militants de la Manif pour Tous, le candidat républicain est accusé de "braconner sur les terres du Front National" par le Parti Socialiste.
Libé - Ile-de France : Bartolone, à gauche toute
.... Aide personnalisée au logement rabotée pour les étudiants, demi-part des veufs, don du sang autorisé aux homosexuels abstinents depuis un an... Le cafouillage sur l’allocation handicapés lui inspire cette réflexion : «A Bercy, dans un bureau, il y a un mec qui a pensé : "Pas de bras, pas d’alloc" et on laisse faire ça...» Entre les patinages de la semaine et la sortie de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers définitivement enterré, ce militant tente quand même de se rassurer : «Je sais que Claude a cette distance avec l’exécutif». Sous-entendu, qui le protège. «Je pensais que nous allions totalement décrocher, ajoute-t-il. Et puis non».
Mais si le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement en attribuait la responsabilité à l'ancienne majorité de droite, Jean-Marie Le Guen prétendait alors que le gouvernement n'avait pas vu venir ces augmentations: "Sur la question de la fiscalité des petites retraites, il y avait du mécontentent et on n'avait pas beaucoup d'arguments pour dire que c'était une mesure juste, puisqu'en fait, elle nous avait échappée" reconnaissait-il sur LCP.
Le JDD - Cambadélis défie Valls sur le droit de vote des étrangers
Jean-Christophe Cambadélis s’oppose à Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers. Le Premier ministre veut enterrer la réforme. Le patron du PS tient à concrétiser le programme de François Hollande.
RTL- Droit de vote des étrangers : le Parti socialiste se divise
Manuel Valls a mis les socialistes dans l'embarras en annonçant que le droit de vote des étrangers n'était plus à l'agenda du gouvernement et du parti socialiste lors d'un débat avec les étudiants de Sciences Po mardi 2 novembre.
Libé - Pourquoi le dossier Notre-Dame-des-Landes revient-il en piste ?
Vendredi soir, un communiqué de la préfecture de Loire-Atlantique remet le feu à Notre-Dame-des-Landes. Voilà qu’après le rejet, par le tribunal administratif de Nantes en juillet, des recours déposés par les opposants au projet de nouvel aéroport du Grand-Ouest, des appels d’offres ont été lancés pour que débutent les travaux en 2016. Drôle de timing, à cinq semaines des régionales et moins d’un mois de la COP21.
Boursier - Code du travail : Manuel Valls veut "révolutionner" sans toucher aux 35H
La réforme du Code du Travail, présentée mardi, s'étalera sur deux ans, en commençant par le temps de travail. Le Premier ministre a confié à Robert Badinter une mission pour fixer un socle de droits garantis à tous.
RTL - Un choc fiscal pour huit Français sur dix
REPLAY - REPLAY / INVITÉ RTL - Christophe Caresche, député socialiste de Paris et membre de la commission des finances à l'Assemblée renvient sur le "Portrait social" publié par l'Insee.
PS - « Vous avez dit Front républicain ? »
Dans le tricampisme, le PS et ses alliés assument leur combat au premier tour pour des régions solidaires et écologiques. Nous nous battrons pour créer la surprise dès le premier tour. Puis nous analyserons la situation. L’unité de la gauche maintenant acquise, nous prendrons nos responsabilités pour gagner au second tour. Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief.
Libé, L'édito - François Hollande et l’excellence écologique ? La bonne blague !
En matière d’écologie, on savait l’exécutif champion du grand écart entre le discours et les actes. Alors que François Hollande jurait en 2012 vouloir «faire de la France la nation de l’excellence environnementale», il n’a cessé, depuis, de faire preuve d’incohérence et d’agir exactement dans le sens opposé. Abandon de l’écotaxe poids lourds, choix du tout-routier au détriment de modes de transport plus écologiques, innombrables gages accordés à l’agriculture industrielle, visite présidentielle en Alberta (Canada), là où est extrait des sables bitumineux le pétrole le plus sale du monde, atermoiements sans fin pour cesser les aides à l’exportation des centrales à charbon ou les avantages fiscaux accordés au diesel, coupes incessantes dans les budgets du ministère de l’Ecologie… La liste est loin d’être exhaustive. On avait presque fini par s’y faire. Et même par en rire jaune - c’est meilleur pour la santé et ça permet de ne pas se ruiner en mouchoirs.
Devant l’unanimité des critiques, le gouvernenent a revu sa copie sur la réforme du calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Mardi 3 novembre au soir, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées, Ségolène Neuville, a annoncé le retrait de cette disposition du projet de budget 2016.A près d’un mois des régionales et quelques jours après le zigzag sur les impôts des retraités modestes, Manuel Valls a annoncé mardi le report d’un an de l’entrée en vigueur de la réforme controversée des dotations aux collectivités territoriales.
L'Obs - Pouria Amirshahi (PS) lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
"On veut créer un lobby citoyen, (un) grand mouvement qui prépare la France d'après", a expliqué lundi sur RFI le député des Français de l'étranger.
Il voulait créer un Podemos à la française. Voilà donc sa naissance. Comme le révèle Le Monde le 31 octobre, le député PS Pouria Amirshahi va lancer le 8 novembre prochain son "Mouvement commun".
L’idée est simple : créer un mouvement social issu de la société civile pour apporter des propositions concrètes au monde politique. À l'heure où nous écrivons ces lignes, un peu plus de 850 personnes ont signé l'appel.
L'Humanité - Pouria Amirshahi lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
2 et 3 novembre
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions.
Libé - Retraités et impôts locaux: une promesse, beaucoup de flou
Payer sa taxe d’habitation? Ne pas payer? Etre remboursé? Comment? Qui est concerné? Pour quel coût budgétaire? Les promesses faites à certains retraités dont les impôts locaux s’envolent, posent bien des questions, loin de l’apaisement fiscal prôné par l’exécutif.
Libé - Dur, dur, la com du gouvernement sur les baisses d'impôts
Son message phare de l'automne a été percuté par le succès d'un amendement sur la CSG progressive, la décision surprise d’augmenter la taxation du diesel et, désormais, par la contestation à propos des impôts locaux payés par les retraités modestes.
Blog Le Monde - Hollande chez « Lucette », une étape dans une stratégie de quadrillage médiatique
La rentrée de François Hollande a été médiatique. Comme le racontait Le Monde le 20 octobre, le chef de l'Etat a choisi de multiplier les visites et les apparitions publiques, "comme si, en cet automne, pas un lieu, pas une thématique, pas une part de marché médiatique et pas une catégorie sociologique ne devait échapper à François Hollande".
Public Sénat - Régionales: le PS, de nouveau accusé de "faire le jeu" du FN, s'en défend
Le PS fait-il le jeu du Front national, à l'approche des élections régionales? L'accusation, maintes fois adressée à un Parti socialiste soupçonné d'y trouver son compte électoral, refait surface alors que l'exécutif a fait du FN sa cible prioritaire. Les ténors du parti s'en défendent, renvoyant chacun à sa responsabilité.
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Bureau politique du 8 novembre 2015 : Benoît Hamon
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L'actualité des socialistes du 19 octobre au 2 novembre (mise à jour)
A la une
France Inter - La fin des frondeurs ?
Y a-t-il encore des frondeurs à l'Assemblée nationale? Jamais, ils n'ont été aussi discrets... Faut-il y voir la fin d'un mouvement, et surtout, une victoire de Manuel Valls qui - face à eux - n'a jamais cédé ?
France Info - Le député PS Pouria Amirshahi lance le "Mouvement commun"
Il a voté contre le budget 2016 mardi dernier, ce qui pourrait lui valoir une exclusion de son parti. Le 8 novembre, le député socialiste des Français de l'étranger participera à la naissance d'un nouveau collectif militant.
Son constat : la défaillance des gouvernants, "incapables de faire face aux possédants". Ses mots d'ordre : "radicalité démocratique" et "sincérité". Le 8 novembre, à la Parole errante à Montreuil, le député socialiste des Français de l'étranger Pouria Amirshahi lancera le Mouvement commun.
29, 30, 31 octobre et 1er et 2 novembre
Rue 89 - Des socialistes du Rhône prédisent la défaite de Jean-Jack Queyranne et le lâchent
La guerre des places sur les listes du candidat socialiste aux élections régionales fait rage. Le journal le Progrès annonce ce mercredi plusieurs départs de la liste Nouveau Rhône du candidat socialiste Jean-Jack Queyranne -le quotidien se trompant sur le nombre de colistiers : ils sont en fait 4 au lieu des 6 annoncés (Jules Joassard, Jean-Henri Soumirieu, Michèle Brun-Piguet et Rafi Nakas).
C’est Jules Joassard, conseiller municipal à Sérézin-du-Rhône, qui est le plus déçu : il s’attendait à être tête de liste et n’a finalement obtenu que la troisième place. Qu’il a donc choisie de ne pas prendre.
Slate - Maintien, retrait ou fusion des listes au second tour des régionales: qui pense quoi au PS?
Voici les déclarations de dix ténors du PS et d’un ministre «anonyme» sur la stratégie électorale socialiste au second tour des élections régionales de décembre.
Au second tour des régionales, et face à un risque élevé dans certaines régions, comme dans le Nord-Pas-De-Calais-Picardie ou en Provence-Alpes-Côte d’Azur, de voir le Front national remporter les élections, quelle attitude doit adopter le Parti socialiste? La majorité se déchire actuellement sur cette question, hésitant entre un maintien des listes, un «Front républicain» classique (se retirer au second tour pour laisser plus de chances au parti de Nicolas Sarkozy de remporter la mise) ou une fusion des listes. Pour y voir plus clair sur «qui pense quoi?» à Solférino, voici les déclarations de dix ténors du PS et d’un ministre «anonyme», classées en trois catégories
Libé - Comment le PS s’est englué dans le front républicain
Fin juin, nous écrivions déjà qu’«en étant clairs aujourd’hui» sur leur attitude dans l’entre-deux tours pour faire barrage au FN - maintien ? retrait ? fusion ? - «les chefs de file PS n’auront plus à répondre à cette question durant la campagne. Ils pourront se concentrer sur leur projet, seule chance de ne pas finir troisième». On y est : après avoir réussi, grâce à l’astuce d’un référendum baroque, à imposer la question de l’unité de la gauche dans le débat des régionales, la direction du PS voulait enclencher la deuxième étape de sa campagne : celle de son programme. Raté. Les mauvais sondages s’accumulant dans les régions à risque FN (Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie), les médias n’ont cessé d’interroger le moindre socialiste sur sa position sur le second tour.
Public Sénat - Régionales : le front républicain sème la confusion au PS
En ouvrant la porte au Front républicain pour barrer la route au FN, Manuel Valls relance un débat qui divise aujourd’hui le PS. Si les élus du Nord-Pas-de-Calais-Picardie ne veulent pas en entendre parler, la sénatrice des Bouches-du-Rhône Samia Ghali ne dit pas non. A droite, le sénateur LR de l’Aisne Antoine Lefèvre défend l’idée et se dit même favorable à une « coalition gauche/droite ».
Le JDD - Front républicain : le PS renvoie la balle à la droite
Au Parti socialiste, l’idée d’un front républicain au second tour face au FN fait son chemin. En coulisses, des ténors du parti attendent désormais des gages des Républicains.
26, 27 et 28 octobre
Ouest-France - Elections régionales. Le PS a adopté sa stratégie pour décembre
Ce lundi soir, le bureau national du Parti Socialiste s'est réuni pour mettre au point une stratégie pour sa campagne des élections régionales, sous la houlette de Cambadélis.
Le bureau national du PS a adopté ce lundi soir sa stratégie pour la campagne des régionales, Jean-Christophe Cambadélis lançant une mise en garde contre toute hypothèse concernant le second tour, a indiqué à l'AFP Corinne Narassiguin, porte-parole du PS.
Le Parisien - Parti socialiste européen : le cadeau de Cambadélis à Tsipras
Entre Syrisa et le PS français, tout va désormais pour le mieux. Pourtant, l'idylle avait plutôt mal commencé. Lors de l'arrivée au pouvoir à Athènes du «parti de la gauche radicale», le 25 janvier 2015, les socialistes français étaient plutôt inquiets.
Le JDD - Au PS, bientôt la fin des frondeurs?
L'heure n'est plus à la fête. Après avoir vu leurs effectifs fondre de moitié, les frondeurs sont gagnés par un certain spleen. Dans le Parisien, ils sont plusieurs à annoncer que le mouvement décline.
23, 24 et 25 octobre
Slate- Les candidats PS aux régionales ont le choix entre l'inconnu et le trop connu
Pour garder leurs régions, les candidats socialistes doivent jouer les équilibristes: défendre leur bilan ou leur programme local sans trop parler de François Hollande. Problème: le président est souvent plus connu que les candidats.
Que choisira de faire le Parti socialiste aux régionales dans les zones où le FN arrivera en tête des sondages et que son candidat se classera en troisième position derrière Les Républicains?
La gauche décidera-t-elle d'"aider la droite ou favoriser le FN?". C'est la question que se pose en Une samedi 24 octobre Le Monde. Une interrogation qui n'est apparemment pas du goût de Jean-Christophe Cambadélis.
Boursorama - Régionales : le FN en force dans les sondages, une majorité de régions à droite
Le Front national proche de la victoire dans le nord et en PACA, la droite qui rafle les deux tiers des régions et le PS qui perd la plupart de ses bastions : à six semaines du 1er tour des régionales, les sondages prédisent un nouveau désaveu cinglant pour l'exécutif.
Trois principaux enseignements de cette première vague d'enquêtes. Le FN confirme sa poussée et Marine Le Pen peut clairement l'emporter en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, la droite et le centre devraient s'imposer dans au moins sept régions et le PS et ses alliés, en net recul, conserveraient trois de leurs fiefs.
Il n'y a "pas de dialogue social réel" à Air France, ont jugé jeudi des députés socialistes après une rencontre avec l'intersyndicale, qui sera auditionnée tout comme la direction de la compagnie aérienne prochainement à l'Assemblée nationale.
Huffington Post - Philippe Kaltenbach, sénateur PS, condamné à un an de prison ferme pour corruption
Le sénateur PS Philippe Kaltenbach a été condamné à deux ans d'emprisonnement, dont un ferme, pour corruption passive, jeudi 22 octobre, par le tribunal correctionnel de Nanterre, ainsi qu'à une inéligibilité de 5 ans et 20.000 euros d'amende.
L'Obs - Face au FN, le PS préfère les calculs aux valeurs
D'un côté, Hollande sonne le tocsin contre le FN. De l'autre, des élus socialistes de poids laissent entendre qu'il faut en finir avec le front républicain. Un double discours au mieux hypocrite, au pire irresponsable.
21 et 22 octobre
20 minutes - Vote du budget 2016: Pourquoi la fronde socialiste s’essouffle
Le vent de fronde est-il retombé ? L’Assemblée nationale a adopté mardi la première partie du budget de l’Etat. Le vote a été obtenu avec une majorité légèrement plus large que l’année précédente et une fronde réduite de moitié. 18 « frondeurs » PS se sont abstenus mardi contre 39 en octobre 2014. 20 Minutes dresse 4 raisons de l’affaiblissement du mouvement avec l’historien Jean Garrigues.
Rue 89 - Référendum du PS : « L’objectif n’était pas un chiffre ! »
On a enfin des précisions sur le « référendum » organisé par les socialistes sur la question de l’unité de la gauche aux régionales : les chiffres annoncés sont des estimations. Et ce n’était pas un « vote », mais un « ovni ».
Lors de la préparation de notre article sur le « référendum » organisé par les socialistes à la fin de la semaine dernière sur l’envie de voir la gauche unie pour les régionales, les cadres du parti, chargés de la logistique, nous avaient promis des réponses, mais seulement ce mardi. De vive voix.
Nous les avons donc rencontrés pendant près d’une heure et demie pour une explication de texte, dans un café à deux pas de Solférino.
Libé - Le tandem Ayrault-Muet et l’exécutif ne se lâchent plus
L’exécutif ne prend pas à la légère l’amendement Ayrault introduisant une dose de progressivité de la CSG. Loin de là. Si le débat autour de cet amendement signé par 137 députés PS a été reporté au 12 novembre, les ministres et François Hollande sont à l’écoute de ses deux auteurs. Et dieu sait qu’ils ne sont pas chauds pour mettre en place ce dispositif dès 2016. Mardi dernier, le député Pierre-Alain Muet a rencontré le ministre des Finances, Michel Sapin, et son secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert. Rebelote le soir, en présence de l’ex-Premier ministre. Entre-temps, Muet, reçu à l’Elysée avec d’autres parlementaires, en a touché un mot à Hollande. Lequel s’est ensuite entretenu avec Ayrault lors d’un déplacement à Saint-Nazaire. Quatre entrevues en une journée : «On ne peut pas dire qu’on a été mal traités», admet Pierre-Alain Muet.
Le JDC- Le député PS Christian Paul s'abstient sur le volet du Budget 2016 consacré aux recettes
..... 247 députés ont voté contre et 32, dont 18 socialistes (ils étaient 39 l'an dernier), se sont abstenus. Parmi ces derniers, le député PS de la Nièvre Christian Paul, qui a justifié son choix par les mots suivants : "Le budget ne répond pas à la crise économique, au chômage de masse et aux inégalités des territoires".
RTL - PS : Julien Dray descend Claude Bartolone et Jean-Christophe Cambadélis dans un enregistrementLe secrétaire national du Parti de Gauche Alexis Corbière a publié un enregistrement compromettant où Julien Dray qualifie les deux ténors du Parti socialiste de "manipulateurs" et de "fainéants".
Metro - Ce député PS frondeur qui votera contre le budget du gouvernement
RÉBELLION - Alors que les députés de l'aile gauche du PS hésitent entre voter ou s'abstenir sur le projet de budget du gouvernement mardi, l'un d'eux va plus loin. Pouria Amirshahi votera contre, nous indique son entourage.
Le Parisien - Référendum PS : les frondeurs écrivent à Cambadélis pour regretter «un coup de pub»
Des parlementaires fondeurs socialistes, dont Christian Paul, Benoît Hamon et Marie-Noëlle Lienemann, ont écrit à Jean-Christophe Cambadélis au lendemain des résultats du référendum sur l'unité aux régionales.
Libé, Désontox - Taubira, le laxisme, la justice : une semaine d'intox
Prison, récidive, peines planchers... Désintox revient sur une semaine de débat à propos du laxisme de la justice, et relève huit intox. Dans les deux camps.
19 et 20 octobre
Le Monde - Régionales : le PS présente son programme national
Campagne locale, mais programme national. La direction du Parti socialiste a présenté lundi 20 octobre la liste des mesures que tous les candidats aux élections régionales devront défendre sur le terrain, en plus de leurs engagements personnels. Lors de la réunion hebdomadaire du bureau national, Christophe Borgel, le responsable des élections à Solférino, a détaillé les promesses de campagne qui ont été élaborées au sein du comité de campagne qui réunit l’ensemble des têtes de liste des 13 régions. La plupart d’entre elles sont issues des programmes des différents candidats à travers le pays.Lors de sa conférence avec les partenaires sociaux, lundi, François Hollande s’est posé en défenseur du dialogue social en vue de 2017. Avec qui, contre qui et avec quels moyens ? Eléments de réponse.Au son de sa voix, on sent qu’il est atterré. Alexis Braud a organisé la primaire présidentielle écologiste en 2011. C’est lui qui avait dénoncé les dysfonctionnements du vote électronique lors de la primaire de l’UMP, avant les municipales, en 2013 à Paris. Cette fois, c’est au tour des socialistes :
« Il n’y a pas de raisons que le PS ne mange pas s’il fait aussi n’importe quoi. »
L’élu écolo vient de poster un courrier adressé à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Il y dénonce les conditions d’organisation du référendum voulu par Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste.
Libé - Dray et Mélenchon se castagnent à coups de vieux dossiers
Jean-Luc Mélenchon et Julien Dray : une histoire sans fin. Elle est née à la fin des années 80. François Mitterand, le président de la République, file une circonscription dans l’Essonne à Julien Dray : le territoire de Jean-Luc Mélenchon. Les deux hommes s’allient politiquement, malgré leurs différences et une sorte de rivalité. Les années passent. Des hauts, des bas. A l’aube des années 2000, ils se séparent. Depuis, ils se guettent de loin. Ces derniers jours, ils ont repris le contact de manière un peu particulière. Histoire en deux épisodes. -
L'actualité des socialistes du 12 au 18 octobre (mise à jour)
A la une
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions
17 et 18 octobre
FranceTVinfo - Six indices qui montrent que le référendum du PS vire au fiasco
Le parti va porter plainte pour "faux" et "usage de faux" mais la consultation se poursuit jusqu'à dimanche.
BFMTV - Régionales: le PS porte plainte contre X après les "incidents" lors de son référendum
Le Parti socialiste va porter plainte contre X pour "faux et usage de faux" ainsi qu'"usurpation d'identité" après les "incidents" constatés vendredi, au premier jour de son "référendum" controversé sur l'unité de la gauche aux régionales.
Les Echos - Ecologistes et démocrates lancent l'UDE, avec la bénédiction du PS
C'est parti pour la nouvelle union née de la scission au sein d’Europe Ecologie-Les Verts . Ce samedi, l’UDE, pour Union des démocrates et écologistes, a tenu son congrès fondateur à Paris, sous les auspices du PS. D’ailleurs l’UDE n’a pas manqué de proclamer son soutien à la politique du gouvernement et sa volonté d'y exercer des responsabilités.
15 et 16 octobre
Le JDD - Le PS lance vendredi un "référendum" politiquement risqué
Le Parti socialiste organise de vendredi à dimanche son "référendum" sur l'unité de la gauche aux régionales. Si les résultats ne font guère de doute, les bénéfices politiques sont incertains, surtout si la participation n'est pas au rendez-vous. La question de la fiabilité de ce vote se pose aussi.
Le JDD - Le Drian sera tête de liste PS en Bretagne tout en restant au gouvernement
L'entourage du ministre de la Défense a confirmé mercredi ce que disaient ces derniers jours plusieurs médias : Jean-Yves Le Drian sera bien tête de liste des socialistes en Bretagne aux élections de décembre. Il compte faire campagne tout en restant au gouvernement et n'a pas encore décidé s'il quitterait son poste en cas de victoire.
Le Monde - Des « frondeurs » du PS recueillent les doléances de salariés d’Air France
Plus d’une semaine après les débordements en marge d’un comité central d’entreprise d’Air France et au lendemain de la mise en garde à vue de six salariés présumés coupables de violences, trois employés de la compagnie aérienne ont été reçus, mardi 13 octobre, par deux députés socialistes, Kheira Bouziane (Côte-d’Or) et Daniel Goldberg (Seine-Saint-Denis).
13 et 14 octobre
Les frondeurs ne changent pas de refrain mais baissent d'un ton. L'examen du projet de loi de finances (PLF) pour 2016 débute ce mardi à l'Assemblée nationale et ces socialistes qui critiquent la ligne du gouvernement y vont en mode «moderato».
Europe 1 - PS : les frondeurs la mettent en veilleuse
Où sont les "frondeurs" ? Alors que l'examen du budget 2016 commence mardi à l'Assemblée nationale, on aurait pu penser que les députés contestataires du Parti socialiste allaient - comme l'an dernier - transformer cette discussion en nouvelle joute contre le gouvernement. Or, pas trace de déclaration de guerre ces dernières semaines. Les frondeurs ont déposé seulement sept amendements, selon Le Parisien, et leurs revendications ne sont pas d'une grande nouveauté. Ils demandent notamment une fiscalité plus progressive et un plus grand soutien à l'investissement des collectivités locales.
France 3 - Référendum pour l'unité à gauche aux régionales : le PS revoit ses ambitions à la baisse
Jean-Christophe Cambadélis a revu lundi à la baisse la participation attendue le week-end prochain au référendum des sympathisants du parti sur la stratégie d'alliance de la gauche aux élections régionales, signe d'une difficulté à mobiliser pour cette consultation qui continue de diviser à gauche.
Le Parisien - Fusion CSG-prime d'activité : Sapin répond à l'amendement Ayrault
C'est le texte qui unit les socialistes, en ce moment. 130 députés PS ont déjà signé un amendement à la loi de Finances pour 2016, déposé vendredi par l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Adoubé par des frondeurs comme par des réformistes, le texte, co-signé avec le député Pierre-Alain Muet, propose de remplacer une partie de la prime d'activité, qui résulte de la fusion de la prime pour l'emploi et du RSA activité », par une baisse équivalente de la CSG.
12 octobre
RTL - Benoît Hamon : "Macron, la nouvelle coqueluche du Tout-Paris"
REPLAY - LE GRAND JURY - Le député des Yvelines regrette les conséquences électorales causées par les propos polémiques du ministre de l'Économie.
À l'occasion du grand remaniement ministériel d'août 2014, Benoît Hamon, l'une des figures de proue de l'aile gauche du Parti socialiste, avait quitté le gouvernement et son poste au ministère de l'Éducation nationale. Dans le même temps, Emmanuel Macron entrait à Bercy et agite, depuis, la scène politique à coup de saillies médiatiques et prises de position contestées dans son propre camp. Une ascension fulgurante commentée avec prudence par Benoît Hamon, invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. "C'est un garçon qui a énormément de qualités, ça personne n'en doute, c'est la nouvelle coqueluche du Tout-Paris. Mais je pense qu'il faut qu'il se prépare au fait que ça puisse passer un jour", a-t-il lancé dimanche 11 octobre.
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Le Grand Jury de Benoît Hamon (1ère partie)
Benoît Hamon : "Macron, la nouvelle coqueluche... par rtl-fr -
Benoît Hamon, Le Grand Jury (2ème partie)
Benoît Hamon : "Macron, la nouvelle coqueluche... par rtl-fr -
Benoit Hamon : « Je conteste le choix de la direction d’Air France »
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L'actualité des socialistes du 21 au 27 septembre (mise à jour)
A la une
Le Parisien - Sondage régionales : le PS à 23% derrière Les Républicains (35%) et le FN (26%)
Notre sondage exclusif Odoxa pour BFMTV et notre journal est inquiétant pour le PS, qui avait pourtant été élu à la tête de la quasi-totalité des régions il y a cinq ans.
26 et 27 septembre
Le Parisien - PS : le référendum sur l'union à gauche ne convainc pas
Selon un sondage Odoxa pour notre journal et BFMTV, le vote sur l'union à gauche dès le premier tour laisse sceptiques les sympathisants. La direction du PS a encore trois semaines pour mobiliser.
Pour le patron du PS, certains membres du gouvernement, à l'instar de la maire de Lille, n'ont pas apprécié les récentes déclarations du ministre de l'Économie.
La maire de Lille Martine Aubry (PS) a affirmé vendredi qu'"on avait encore le temps de faire retourner la courbe du chômage", souhaitant, si François Hollande y parvient, qu'il soit "le candidat de la gauche" en 2017.
LCI - Céline Pina (PS) : "C'est le déni qui fait le jeu du Front national"
Pour s'être opposée à la tenue d'un salon dédié à la femme musulmane, l'élue PS du Val-d'Oise a été accusée de faire le jeu du Front national.
Les Echos - Cambadélis menace d’exclure les députés PS qui voteront contre le budget
Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, s’emploie à resserrer les rangs de la majorité. Quitte à faire usage de la menace. Au cours du conseil national du PS qui s’est tenu samedi dernier, il a menacé d’exclusion du parti les députés qui voteront contre le projet de loi de Finances pour 2016, qui doit être débattu en octobre à l’Assemblée nationale.
Pour le baptême du feu de la nouvelle ministre du travail, Myriam El Khomri, le chômage a atteint un nouveau record : selon les statistiques publiées jeudi 24 septembre par ses services et par Pôle emploi, le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité (catégorie A) s’est accru de 20 000 en août, en métropole, soit une hausse de 0,6 % par rapport à juillet et de 4,6 % en un an. Des chiffres qui n’ont pas manqué de faire réagir.Le Figaro - Une figure de l'aile gauche du PS lance le site Macron-demission.fr
«Si l'on veut sauver la gauche du désastre, il faut la sauver de Macron», c'est le credo de Gérard Filoche, figure de la gauche du PS et adversaire de la première heure d'Emmanuel Macron. Après la dernière sortie du ministre de l'Économie au sujet des statuts des fonctionnaires, l'ancien inspecteur du travail n'entend pas s'en tenir au «ras-le-bol» lancé un peu plus tôt par Martine Aubry. Invité mercredi soir sur BFM TV, le membre du bureau national du PS a indiqué avoir lancé un site dédié à la perte du patron de Bercy, Macron-demission.fr. Un geste fort de la dernière chance que devrait tenter selon lui le chef de l'État, pour limiter la casse annoncée aux élections régionales de décembre prochain.
25 septembre
LCP - PS : la volte-face de Cambadélis
Lors du conseil national du parti, samedi dernier, le premier secrétaire du PS a tenté de faire voter une résolution saluant les annonces du gouvernement sur les baisses d’impôts et le milliard consacré aux collectivités locales. Un document qui aurait eu le mérite, pour l’exécutif, de faire oublier le texte voté par la rue de Solférino en juillet et rédigé par Jean-Marc Germain, qui demandait la réorientation des aides du CICE…
Le Parisien - Macron, frondeurs... Les petites confidences des députés PS sur leur rentrée
D'un côté, Emmanuel Macron et ses sorties choc sur les 35 heures ou le statut des fonctionnaires. De l'autre, des frondeurs qui réagissent au quart de tour et menacent déjà de voter contre le budget 2016.
Entre le marteau et l'enclume, le gros des troupes du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, réuni en séminaire en début de semaine. Des députés PS qui votent dans leur grande majorité les textes présentés par le gouvernement (voir notre infographie ci-dessous), ne font pas parler d'eux. Comment vivent-ils cette rentrée 2015?
Europe 1 - "Ras-le-bol !", le coup de gueule de Martine Aubry contre Macron
La maire de Lille est fermement opposée à la méthode du ministre de l'Economie sur le travail du dimanche.
Martine Aubry est en colère, et elle le dit. La maire de Lille avait déjà manifesté, sur Europe 1, son soutien à Anne Hidalgo dans la bataille qui oppose la maire de Paris à Emmanuel Macron sur le travail du dimanche. Et les propos du ministre de l'Economie sur les fonctionnaires ont été la goutte d'eau. Mercredi, la maire de Lille a donc réitéré ses critiques à l’encontre du ministre de l’Economie, avec un peu plus de virulence encore : "Macron ? Ras-le-bol ! Ras-le-bol ! Je supporte de moins en moins cette arrogance, et cette ignorance de ce que vivent les gens !"
24 septembre
BFMTV - Filoche: "J’ouvre le site macron-demission.fr"
Emmanuel Macron semble bel et bien dans le viseur d'une partie des militants socialistes. Ses déclarations polémiques à répétition ne passent pas auprès de l’aile gauche du parti. En guise de contestation, Gérard Filoche a créé un site où il exige sa démission.
Les sympathisants de gauche sont dans une très large majorité favorables à des listes d'union à gauche dès le 1er tour des élections régionales et plébiscitent l'idée du PS d'un référendum sur le sujet, selon un sondage BVA diffusé mercredi.
Libé - CICE : où sont passés les 25 milliards ?
Le rapport 2015 sur le crédit d’impôt compétitivité emploi pointe une utilisation du dispositif éloignée des objectifs : les hausses de salaires sont privilégiées à l’investissement et il profite peu aux exportations.
Libé - La France a réduit ses inégalités
D'après l'Insee, les écarts de niveaux de vie ont diminué en 2013. Un résultat dû en partie à la politique fiscale de François Hollande.
23 septembre
Libé - François Hollande préface un ouvrage en faveur du dialogue social
Un livre, publié jeudi, revient sur l'histoire de la démocratie sociale et les perspectives offertes par la concertation collective. Une ode au compromis et au bilan du Président, qui signe les premières pages du livre.
Libé - Hidalgo veut redistribuer les cartes à Paris
Dans une note à François Hollande et Manuel Valls, la maire PS de la capitale présente ses projets de réorganisation des pouvoirs dans sa ville.
Libé - Devant le groupe PS, Macron interdit de riposte
Après sa sortie sur le statut des fonctionnaires, le ministre de l'Economie a été recadré et fortement encouragé à mieux maîtriser ses propos afin de ne pas brouiller le message des socialistes.
France Info - Séminaire au goût de recadrage pour les députés PS
Le séminaire du groupe PS à l'Assemblée nationale s'est terminé par une intervention du premier ministre. Un séminaire ou il a beaucoup été question de discipline, de soutien des députés de la majorité à la politique gouvernementale. Un séminaire où le ministre de l'économie s'est rendu ce mardi et bien qu'interpellé sur les fonctionnaires par un élu, il n'a pas répondu.
Boursorama - L'iconoclaste Macron froidement accueilli par les députés PS
PARIS (Reuters) - Les députés socialistes réunis à huis clos ont réservé mardi un accueil glacial à Emmanuel Macron, coupable selon plusieurs participants de brouiller le message gouvernemental par ses déclarations sur le statut des fonctionnaires ou les 35 heures.
Challenges - Pourquoi le PS prend un très gros risque avec son référendum
INTERVIEW Timing trop serré, difficultés d’organisation, frilosité des autres partis: tout laisse à penser que le référendum du PS sur les élections régionales sera un échec selon Jérôme Fourquet (IFOP).
Francetvinfo - INFOGRAPHIES. Régionales : pourquoi le PS panique
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a annoncé la tenue prochaine d'un référendum sur "l'union de la gauche" aux régionales. Une initiative qui traduit une certaine peur de la déroute lors des élections régionales de décembre.
Paul Alliès - De la dégénérescence du parlement socialiste
Samedi 19 septembre se réunissait le Conseil National du Parti socialiste, autrement dit son parlement. Ce fut aussi le jour où le Premier secrétaire annonça la tenue d’un « référendum » pour exiger l’union de la gauche aux élections régionales. Or le parlement n’a pas débattu un seul instant de cette proposition.
22 septembre
Le Figaro - Le PS érige sa défaite à Noisy-le-Grand en cas d'école
Alors que Jean-Christophe Cambadélis va organiser un référendum sur la stratégie d'alliance des partis de gauche pour les régionales, la défaite du PS à la municipale partielle de Noisy-le-Grand sert d'avertissement.
PS - Contribution de Jean-Chistophe Cambadélis au Conseil national du 19 septembre 2015
Une confusion politique extrême règne en France. Elle est causée par l’opposition de droite et d’extrême droite qui ont de plus en plus de mal à dissimuler leur rapprochement de fait et qui, lentement mais sûrement, remettent en cause les repères républicains de notre démocratie. Il y a un grand danger que la crise des réfugiés va accentuer.
Le Monde, Les décodeurs - « Référendum » du PS sur les régionales, mode d’emploi
En annonçant, samedi 19 septembre, la tenue d’un référendum du 16 au 18 octobre sur l’union des listes de gauche aux élections régionales, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste (PS), a bousculé le début de campagne. Pour l’instant, les formations de gauche partent en ordre dispersé dans la quasi-totalité des régions. Même dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Provence-Alpes-Côte d’Azur, régions où une victoire du Front national se profile, socialistes, écologistes et Front de gauche n’ont pas réussi à s’entendre.Le Figaro - Régionales : le référendum socialiste en trois questions
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, veut consulter le peuple de gauche sur une union dès le premier tour du scrutin. Focus sur les modalités du vote et ses éventuelles conséquences.
L'Huma - Au PS, un référendum pour imposer l’union régionales
Plombé par un gouvernement discrédité dans l’opinion publique, le PS tente d’obliger le reste de la gauche à lui emboîter le pas en organisant une consultation.
LCP - Le Roux (PS): "passer au-dessus" de ceux qui "veulent faire perdre la gauche"
Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a justifié lundi le référendum du "peuple de gauche" souhaité par le patron du PS …
TF1 - PS : "Macron est très cohérent et sait où il va"
Le journaliste et écrivain, Denis Jeambar, estime qu'Emmanuel Macron a très bien compris la double personnalité de François Hollande et sait en jouer.
Le Parisien - PS : Valls auprès des députés socialistes pour leur séminaire de rentrée
Les rentrées sont souvent l'occasion de bonne résolution. Manuel Valls, qui sera ce lundi après-midi aux côtés des députés PS pour leur séminaire de rentrée à l'Assemblée, doit rêver que certains d'entre eux reviennent plus.
L'Obs - PS: Faure accuse le Front de gauche d'être devenu "l'allié objectif de la droite
Olivier Faure, porte-parole du PS, a accusé lundi le Front de gauche d'être devenu "l'allié objectif de la droite", justifiant la volonté du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis d'appeler "le peuple de gauche" à se prononcer directement sur l'unité aux élections régionales.
Le Figaro - Excédée par les «provocations» de Macron, l'aile gauche du PS demande sa démission
Les critiques fusent à gauche, après la nouvelle sortie du ministre de l'Économie Emmanuel Macron sur le statut des fonctionnaires, qui selon lui ne serait «plus justifiable». «On a fait partir Arnaud Montebourg pour moins que cela», a fait remarquer le député Laurent Baumel lors d'un Conseil national du PS qui se tenait samedi à la Mutualité à Paris.
Libé - La nouveauté du week-end : Pourquoi Cambadélis sort un référendum de son chapeau
Le patron du PS annonce vouloir sonder «le peuple de gauche» pour savoir s’il est favorable ou pas à l’unité pour les régionales.
21 septembre
L'Express - Le "référendum" de Cambadélis ne séduit pas la gauche du PS
Le Premier secrétaire du Parti socialiste a annoncé samedi l'organisation d'un rérérendum sur l'unité de la gauche aux élections régionales. La proposition suscite la colère des partenaires traditionnels du PS.
Boursier.com - Régionales: le PS organise un référendum sur l'union de la gauche
PARIS (Reuters) - Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a annoncé samedi la tenue mi-octobre d'un référendum sur l'union de la gauche aux élections régionales, en vue desquelles l'éclatement des forces promet de mettre la majorité gouvernementale en difficulté.
Le JDD - Le PS appelle à un "référendum" du "peuple de gauche"
Jean-Christophe Cambadélis a annoncé samedi soir l'organisation par le PS d'un référendum du "peuple de gauche", du 16 au 18 octobre, lui demandant s'il est favorable à l'unité entre le PS et les autres partis de gauche aux régionales de décembre.
Le Parisien - Régionales: Cambadélis tente un pari pour imposer par la base l'unité à gauche
Face au risque d'une déroute aux élections régionales, le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis appelle le "peuple de gauche" à se prononcer par "référendum" mi-octobre pour imposer une unité que les états-majors des anciens alliés du PS refusent pour l'heure.
Montpellier - En terrain conquis chez les Radicaux de gauche, réunis à Montpellier pour leur 100e congrès, Manuel Valls a lancé dimanche un appel à l'unité de la gauche face au danger du FN